« La chauve-souris quitta les combles du palais de Versailles et s’élança dans la nuit obscure. Au-dessous d’elle se déroulaient les lignes symétriques des jardins royaux, un alignement de parterres de buis, un labyrinthe logique pour tous les tenants de l’ordre royal, un cauchemar pour les autres.
Elle survola un massif boisé, strié par un multitude d’allées sombres et étroites. Une forme menue y tournait, perdu et désemparée, entre ces hautes murailles de verdures. »